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Islande

18-05-2018
2018, après 5 ans, nous retournons en Islande.
En 2013, nous étions partis d'Akureyri pour rejoindre Reykavik par l'est. Cette année, nous avons recommencé en passant par l'ouest.
Autres vues, autres paysages, mais toujours autant de plaisir.

Les photos sont ICI

Voayage à Sao Tomé et Principe, mai-juin 2017.

05-07-2017
C’est le moment de partir en vacances à Sao Tomé et Principe, destination que nous avons choisi pour cette année. Nous ne sommes pas chiants, on ne se prend pas la tête pour un petit rien. Nous aimons bien manger et, surtout, les plats locaux et nationaux. Mais si ça ne nous plait pas, autant le dire.
Nous sommes donc passés par plusieurs hotels, des biens et des moins bien. Du moins, pas que ce n’est pas bien, mais on a moins ou pas aimé.

Jeudi 25.05
Réveil à 2h00 du matin. Un long voyage nous attend. Nous partons en vacances à Sao Tomé et Principe. Départ de Genève à 6h30, arrivée sur place à 17h30, heure locale (- 2 heures). Nous avons pris possession de la voiture de location, une Renault Duster. Finalement, assez haute, ce qui aidera pour la suite, car les routes n’ont pas des nids de poule, mais des nids d’autruche. Quand il y a une route !
Il faut rejoindre l’hotel. En route vers l’inconnu. Heureusement, notre loueur de voiture nous y conduit, il n’y a qu’à le suivre et « apprendre » à conduire dans Sao Tomé capitale.

Sweet Guest House, c’est le nom de notre hotel, à 15 mn à pied du centre de la ville. Un hotel tout ce qu’il y a de sympa (environ 50 € la nuit). Tout est prévu pour notre confort, moustiquaires, clim… A l’étage, il y a une salle à manger, aussi bien pour ceux qui prennent le petit déj avec la chambre que pour ceux qui se préparent eux-mêmes leurs repas. Il y a aussi une salle de repos climatisée et une terrasse.
Pourquoi payer du luxe alors qu’il y a de quoi satisfaire toute personne simple.


Vendredi 26.05
Visite de 2 plantations de cacao désafectées (roça)
A la 1ère, il y avait une école et les enfants viennent nous voir facilement, se font prendre en photo et réclament des bonbons. Certains font aussi le geste avec leurs doigts pour demander de l’argent. Il suffit de refuser et ils n’insistent pas, comme s’ils savaient qu’ils n’avaient pas le droit. Mais j’avais plus d’un tour dans mon sac. Enfin, des stylos. Une vingtaine. Et quand j’ai commencé à les distribuer à 2 ou 3 enfants, les autres sont arrivés. J’ai tout donné.
Après ces visites et comme il en faut pour tout le monde, c’était l’heure du bain. Direction la praia dos tamarindos. Il faut faire attention où nous mettons les pieds pour y aller, il y a des déchets mais surtout du verre. Quand les gens vont à la plage, ils ne repartent pas avec leurs déchets. La plage est très belle, l’eau claire et la baignade fortement conseillée.

Retour à l’hotel. Après avoir conduis la journée, je suis crevé. Il faut vraiment faire attention à tout : aux trous, aux personnes sur les bords de routes, à ceux qui traversent partout, aux animaux, etc… Du coup, on a décidé de prendre un guide pour le lendemain.
Tout ça, ça donne faim. Nous sommes donc allés manger en ville, à la Casa de Cha Jasmin. Nous avons pris du poisson et son accompagnement ; bananes, patates douces, légumes et j’en oublie surement tellement il y en avait (trop). Mais on a bien mangé et c’était plutôt bon. Menu et boissons, 20€ pour 2, très correct. A recommander.

Dimanche 28
Départ de l’hotel pour la 2ème étape, l’hotel Mucumbli à Neves. Une sorte de paradis, comme il en existe un peu partout dans le monde. En arrivant, plutôt que d’attendre que la chambre soit prête, nous sommes descendus à la plage pour nous baigner. Et faire la connaissance de quelques enfants du coin. J’ai même croisé mon 1er serpent des vacances (le seul, heureusement). Long, très fin, inoffensif, mais je n’ai pas attendu pour le savoir.
Une douche pour se rincer et nous voila parti « au bled ». Un bidonville, comme je les appelle. (Pour ceux qui ont connu Le Bois Vachon, c’était du luxe à coté de leurs maisons. Et c’était pourtant il y a 40 ans…)
Et au milieu de ces habitations – il faut le trouver – un resto à touristes où tu manges du crabe. Ou du poisson. Mais allons y pour le crabe, le poisson, il y en aura partout ailleurs. En tous cas, le gars qui a ouvert ça, il a tout compris.

S’en est suivi une visite du bord de mer, la vie du village (piscine, port, jeux, tout y est, rien ne manque). Les gamins se promènent avec des poissons volants dans les mains, sans doute le repas du soir…

Visite de la Roça Ponta Figo. On marche, on digère et on peut enfin voir, toucher, les fameux cacaoiers.

Après ça, nous avons longé la cote en direction du sud, jusqu’au dernier village avant le plus rien. Là, nous avons discuté avec un habitant, très sympa ; un prof. Professeur de portugais, maths, physique. Il y avait aussi « ses » enfants, sa famille, des gamins heureux de rencontrer des étrangers avec qui ils ont partagé leurs sauts périlleux arrière. Ils sont tellement fiers du peu qu’ils ont, de ce qu’ils sont. Et ils ont raison. Ces gens sont tellement riche dans leur cœur…

Le soleil se couche tôt (17h30 – 18h00), du coup, il est préférable de rentrer pour éviter de rencontrer des gens ou animaux sur les bords de routes. Ils ne sont pas éclairés et ce serait trop dangereux d’avoir un accident. Nous arrivons juste à l’heure du coucher de soleil.
1 capi, un poisson grillé, 1 autre capi et au lit 

Lundi 29
Praia Inhame (http://www.hotelpraiainhame.com/hotel-overview.html)
Pour y aller, c’est tout droit. Ou presque. Une des plus belles route de l’ile. Normal, c’est sympa d’aller jusqu’à la plantation de palmiers qui fourni l’hile de palme pour le pays. Mais après ? Une fois passé l’entrée de la plantation, c’est Bagdad. D’où la compréhension que l’état et les propriétaires de la plantation sont en désacord.
Inhame, lieu privilégié où le stress n’existe pas : c’est un hotel à recommander. On y est vraiment bien ; le personnel est très gentil, on y mange très bien, les bungalows sont confortables et la plage très belle. A 30 minutes à pied, il y a une autre plage avec une vue plus sauvage.
Nous ne sommes restés qu’une nuit, mais ça valait la peine de faire plus (j’y reviendrai dans le prochain épisode)
Plage, plage, poisson et poulpe grillés, une bonne bière locale et basta !
C’est vraiment un endroit pour faire du farniente.

Mardi 30
Il est temps de repartir, après une petite nuit, il faut l’avouer. Le toit de notre bungalow est une nurserie à chauve-souris. Nous devons prendre le bateau pour l’Ile de Rolas à 9h30. Enfin, plus tard. Le bateau partait de Rolas à 9h30.
La traversée d’environ 30 minutes a été plutôt agitée. A l’image de l’océan. En plus de la chaleur, coincé dans un gilet de sauvetage…
Nous nous sommes installés dans notre chambre et n’avons pas trainé pour aller piquer une tête dans la piscine
L’après-midi, nous avons traversé l’ile en faisant un petit détour par la ligne d’équateur. Une bonne marche sous les cocotiers, poursuivis par de méchants moustiques (que nous avons réussi à semer) et, enfin, la libération. Nous sommes arrivés à la seule belle plage de l’ile. Bien entendu, on enfile les maillots et on y va !
Parlons de l’hotel (et donc, on en revient à celui de la veille). Sur l’Ile de Rolas, l’hotel est surfait, j’ai vraiment été déçu, il ne vaut de loin pas le prix. OK, il a sa très belle piscine (d’eau salée), sa plage privée où tu ne te baignes pas parce qu’il y a trop de rochers.
Les repas – puisque nous avions pris, à tort, la pension complète – sont quasiment les mêmes le midi et le soir. Seuls quelques desserts et salades froides étaient différents. Les poissons et viandes grillés du midi et du soir étaient identiques. L’accompagnement, surtout. Je ne suis pas allé au bout du monde pour y manger des spaghettis !

Mon conseil est donc de rester deux nuits à Praia Inhame, de prendre leur bateau pour traverser jusqu’à Rolas (avec un gain de temps) et de rentrer le jour même. Le tour de l’Ile peut se faire en une ½ journée. Vous avez aussi le temps d’aller vous baigner à Praia Cafe et de manger au restaurant du village des plats plus typiques.

Mercredi 31
Retour à la capitale, direction l’hotel Omali.
Quelques arrêts en voiture nous aurons fait du bien, pas spécialement pour se dégourdir les jambes, mais pour rapporter quelques souvenirs photographiques :
- Cao Grande (encore)
- Sao Joao dos Angolares et son restaurant gastro du mĂŞme nom
- Boca do Inferno
- Hotel Omali
Le restaurant du Chef Joao Carlos Silva est une pépite. Faire le crochet en vaut le détour (réservation obligatoire). Il sait nous mettre des gouts au palais que rien nous laisserai imaginer. Tous les mets dégustés sont confectionnés avec des produits du terroir. Rien ne se perd…
L’hotel Omali est, à mon avis, plutôt un hotel d’affaire qu’un hotel de touristes, comme nous. Il est placé près de l’aéroport. Il faut traverser la route pour accéder à une superbe plage. Mais il a aussi sa piscine et son centre de remise en forme
Nous avons terminé la soirée à regarder le bal des chauves souris qui rentraient se coucher. Etonnés ? Moi aussi. Les grosses chauve souris (celles qui se mangent) ont une envergure moyenne de 75 cm et vive le jour.

Demain, nous irons au paradis…


Jeudi 1er
Le terme des vacances est arrivé. En tous cas sur l’ile de Sao Tomé.
Ce matin, on déjeune, on rend les clés de la chambre, la voiture et on décolle pour « l’Ile du Prince »
Avec les différents voyages que nous avons fait, chaque pays, chaque terre, chaque indigène a quelque chose de différent. Les prospectus sont ce qu’ils sont, mais ici, ils y ressemblent vraiment. Et là, on y est et c’est comme ce qu’on nous a vendu, le même rêve…
Il y a une vingtaine de bungalows, 2 immenses plages où on ne risque pas de se marcher dessus, au pied des bungalows. Le personnel est adorable, quoi qu’il fasse au sein de l’hotel, présent, gentil, etc, etc…ET CE TE RA !

The best for the end
02 juin (quel beau cadeau d’anniversaire)
- Visite du village
- Repas au village
- Massage avec vue
- Plage à volonté
- Souper aux chandelles
Quel souvenir !
Un endroit magnifique, une journée mémorable de part le lieu mais aussi pour la qualité de ce qu’on a fait.
Nous sommes allés au village (comme tous les villages, te tour est assez vite fait). La vie dans celui-ci n’est pas vraiment identique à ceux de Sao Tomé. Les gens n’ont pas le même regard. J’ai l’impression que la mentalité change un peu, que les habitants sont un peu plus ouvert.
Nous avons mangé dans un petit bistrot rustique, comme sa cuisine. C’est ce qui nous plait. Poulpe, poisson grillé, accompagnement… Il y en avait pour les fous et les sages.
Juste à coté de ce bistrot, il y a une école. Nous y sommes passés avant de rentrer à l’hotel et avons juste rencontré 3 personnes de l’école qui dinaient. Les enfants étaient chez eux. Nous avions rapporté des stylos dans nos bagages, ils en restait. Beaucoup. Et je ne voulais pas les rapporter en Suisse. Je crois qu’on a fait plaisir <3
De retour à l’hotel, Valérie est partie observer les oiseaux du coin avec un guide pendant que moi, je m’étais réservé un massage avec vue. Le pied (gauche, droit et le reste du corps pendant qu’on y est :-D )
Le repas du soir s’est naturellement fait en terrasse, aux chandelles. Si on vous dit que cet hotel chouchoute ses clients, c’est que c’est vrai.
Une journée, donc, des plus parfaites… Samedi 03 – Le retour
Un réveil des plus banals. Valérie va voir les singes et les oiseaux et moi, je profite des derniers instants, couché.
Après un bon petit déjeuner de fruits frais et autres patisseries, nous allons, une dernière fois, piquer une tête dans l’eau claire de l’océan. Une douche et nous sommes prêts. Prêts, cette fois, pour quitter ce bout de paradis.
Retour sur l’ile de Sao Tomé. Nous laissons nos valises à l’hotel Omali puis repartons en direction de la capitale, au centre commercial pour acheter quelques produits locaux : chocolat, bananes séchées, cacahuètes…
Nous sommes rentrés à pieds, par la cote, pour nous arrêter manger au resto « Filomar » (juste derrière le garage Toyota). C’est grand, sain. Il n’y a que deux choix de poissons mais c’est suffisant. Un seul nous suffira pour nous gaver une dernière fois. Attention à la sauce piquante avec bacalhau, elle… brule ! Par contre, la sauce pesto, maison, avec le poisson, est à se relever.
Nous terminons nos vacances sur l’ile à l’hotel Omali, au bord de la piscine, en attendant l’heure que la navette nous ramène à l’aéroport.

Les enfants et les clichés
La particularité des enfants, devant des touristes, c’est qu’ils veulent toujours etres pris en photo et ne s’arrêtent jamais de demander. Et, il faut l’avouer, la mise au point n’est pas toujours facile à faire tellement ils sont proches.
Mais ils sont charmants, même s’ils font toujours les cons 



The End…

Bien que…



Les photos sont ICI

Venise

24-04-2016
Venise est une très belle ville que nous avons découvert en avril, sur un WE prolongé.
Nous avons trouvé un petit hôtel sympa à Mestre. Il nous fallait marcher 5 mn pour aller prendre le bus qui nous déposait à la gare maritime de Venise en 15 mn. Pas de prix trop élevés et beaucoup moins de bruit pour dormir. Pour rentrer le soir, aucun soucis, il y a des bus assez tard.
Pour ne pas vous perdre, prévoyez un GPS :-D
A la place San Marco, si vous voulez visiter la Basilique, prévoyez de faire la queue quelques longues minutes et, si vous avez un sac à dos, vous devrez aller le poser dans un casier une rue plus loin. Le petit truc, allez y avant la visite, on vous donnera un ticket qui vous permettra de ne pas faire la queue.
Quand il y a du soleil, les lumières sont très belles, n'hésitez pas à prendre votre temps. S'il pleut, il y a quand même toujours quelque chose à voir ou à faire.
Entrez dans les "véritables" boutiques de masques ou de verre, elles valent le détour.
Pour la sélection de photos, elle est ICI



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